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STOCKAGE DE L'ADN : UNE RECHERCHE APPROFONDIE PORTE SES FRUITS

Dans un article précédent, nous avions soulevé la question de savoir ce qu'il advient des tests PCR traités. En l'absence de preuves concrètes de ce qui est effectivement fait avec les échantillons, nous n'avons pu que tirer une conclusion indirecte - sur base des éléments disponibles - que l'ADN de toutes les personnes soumises à un test PCR est utilisé, enregistré, stocké et conservé. Nous n'avions pas (encore) de preuves directes. Cependant, l'équipe de chercheurs a continué à creuser et a finalement trouvé une vidéo d'un enregistrement à la Chambre des représentants aux Pays-Bas datant du 18.11.2020, qui fournit une preuve directe.


Vous trouverez ci-dessous la transcription du discours du député Tunahan Kuzu :

" Président, enfin, un point sur ce qu'il advient de l'ADN et des matériaux corporels des gens lorsqu'ils subissent un test corona en toute bonne foi. Il y a quinze jours, j'ai également parlé de ce sujet. Beaucoup de personnes dans la société s'inquiètent de ce qu'il advient de leurs matériaux. Mon ADN sera-t-il partagé avec d'autres personnes ? Les matériaux de mon corps seront-ils utilisés pour la recherche ? Qui aura accès aux matériaux de l'ADN ? Des préoccupations de nombreux Néerlandais qui s'avèrent malheureusement vraies.

Après que j'ai posé une question à ce sujet lors du précédent débat, la lettre du ministre a révélé que nos craintes sont en fait réels. Les laboratoires peuvent conserver le matériel corporel des personnes, jusqu'à trois mois. Les laboratoires peuvent faire des recherches avec ces matériaux corporels et les matériaux corporels sont également partagés avec des tiers. Et président, c'est en fait assez choquant, quand on sait que, sans que les gens le sachent ou qu’il leur soit demandé la permission, du matériel corporel ou de l'ADN est utilisé pour la recherche et partagé avec des gens dont on ne sait pas ce qu'ils en font.

C'est pourquoi il est important que le consentement soit demandé en amont, aux personnes. Pourquoi ce consentement n'est-il pas demandé ? Pourquoi personne ne sait ça et les gens ne sont-ils pas informés de cela ? Avec quels chercheurs ces données sont-elles effectivement partagées ? Ce manque de transparence est exactement la raison pour laquelle les gens ne font pas confiance aux tests. Et dire que ce gouvernement veut que tous les Néerlandais subissent un test mensuel d'ici mars. Président, "REFLECHISSEZ" une fois pour de bon. Et, je conclus, L'ADN et les matériaux corporels appartiennent aux personnes elles-mêmes. Si cela est utilisé pour la recherche, des informations doivent être fournies à ce sujet et la permission doit être demandée à l'avance. Je vais soumettre une motion à ce sujet au cours du second mandat également. Merci."

Aux Pays-Bas, l'ADN de toutes les personnes qui ont subi un test PCR est conservé par les laboratoires pendant 3 mois. Une lettre ( interne ) du ministre de la santé à d'autres députés l'a confirmé en novembre 2020. Toutefois, cela n'a jamais été porté à la connaissance du public. Aucune annonce officielle n'a été faite. Aucune législation ou réglementation n'a été publiée. Les médias n'en ont jamais parlé.

En outre, il n'existe aucun contrôle sur la destination donnée par les hôpitaux et les laboratoires aux tests PCR traités contenant l'ADN de chaque citoyen, ni sur la durée de leur conservation, ni aucune sanction s'ils conservent l'ADN plus de 3 mois ou vendent les échantillons traités à des tiers à des fins commerciales. L'ADN est " partagé " avec des tiers. Qui sont ces tiers et que font-ils de votre matériel génétique ?

Le discours du député Tunahan Kuzu date du 18.11.2020n soit voici plus de deux ans. Qu'a fait l'administration Rutte à ce sujet ? Rien. Elle a balayée la question sous le tapis. Les droits des citoyens ont été et continuent d'être violés en toute connaissance de cause. Ceux qui ne savent pas pourraient invoquer un motif de décharge. Ceux qui savent mais continuent quand même à commettre des violations sont coupable d’un crime punissable par la loi.


La situation n'est pas différente en Belgique, en France, en Allemagne, au Royaume-Uni, aux États-Unis et dans tous les autres pays qui ont soumis leurs citoyens à des tests PCR forcés. La seule différence avec les Pays-Bas est que dans tous les autres pays, aucun membre du Parlement n'a eu le courage politique de soulever cette grave violation des droits civils, ni même au sein du Parlement européen. Ils laissent faire. Cela fait de eux aussi des criminels.



 
 
 

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