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NHS UK :"LES MASQUES BUCCAUX DANS LES HOPITAUX NE FAISAIENT AUCUNE DIFFERENCE CONTRE COVID"

" Les gouvernements du monde entier, y compris le Royaume-Uni, ont rendu obligatoire le port d'un masque buccal dans les lieux publics intérieurs, malgré l'absence d'études approfondies sur son efficacité.


Selon de nouvelles recherches - plus précisément 78 études menées par l'Institut Cochrane et portant sur un total d'un million de patients hospitalisés, - les masques n'ont fait "aucune différence perceptible" dans le nombre de transmissions de Covid dans les hôpitaux (qui ont toujours été identifiés comme des foyers de transmission de virus).

Les taux d'infection n'ont pas augmenté lorsque l'obligation de porter un masque a été levée dans les établissements du NHS lors d'une poussée d'Omicron.

Aujourd'hui, les experts affirment que ces résultats ne signifient pas que les masques buccaux sont "inutiles". Mais ils appellent à une politique "rationnelle et proportionnée" en matière de masques dans les hôpitaux lors des futures poussées de Covid, car les avantages sont "au mieux modestes".


Certains hôpitaux exigent encore que les patients se couvrent avant d'entrer, bien que ce ne soit plus une obligation légale.

Les chercheurs de l'hôpital St George, dans le sud-ouest de Londres, ont analysé les données de contrôle des infections collectées en routine sur une période de 40 semaines, entre le 4 décembre 2021 et le 10 septembre 2022.

Il s'agit de la période comprise entre la première semaine où Omicron est devenu la variante dominante de Covid et la semaine où les tests universels de dépistage par PCR de Covid ont été supprimés pour les patients admis.


Au cours de la première phase de l'étude - du 4 décembre 2021 au 1er juin 2022 - tout le personnel et les visiteurs devaient porter des masques dans les zones cliniques et non cliniques.Au cours de la deuxième phase, le mandat a été supprimé.

Au cours de la deuxième phase, le mandat a été supprimé et les décisions relatives à la politique en matière de masques ont été confiées à chaque hôpital.

Les hôpitaux à haut risque, notamment les services de cancérologie et les unités de soins intensifs, ont conservé l'obligation de porter un masque.

Les chercheurs ont constaté que l'abolition de la politique du masque au cours de la deuxième phase n'a pas produit de "changement statistiquement significatif" dans le nombre d'infections nosocomiales à Covid. Ils n'ont pas non plus observé d'effet retard sur le nombre d'infections à Covid après la suppression de la politique. Et ce, bien que la transmission du virus ait augmenté dans la communauté.

Les patients des services à haut risque - le groupe de contrôle - qui ont continué à porter des masques n'ont pas non plus "constaté de changement immédiat ou différé dans le taux d'infection", selon l'étude.


Bien que les masques aient été initialement considérés comme une mesure de prévention du virus, ils sont devenus un symbole important des guerres culturelles de Covid au Royaume-Uni.

Au début de la pandémie, les autorités ont diffusé des messages contradictoires sur leur efficacité.

Les études n'ont pas démontré avec certitude que les masques empêchaient l'apparition du Covid.

En février, l'une des méta-analyses les plus complètes réalisées à ce jour par l'Institut Cochrane sur les masques a révélé que les masques ne faisaient "que peu ou pas de différence" par rapport au nombre d'infections ou de décès dus au Covid. Comme pour toute étude d'observation, les chercheurs à l'origine de la nouvelle étude britannique ont mis en garde contre les limites potentielles de l'étude."


REMARQUES :

Il est inexact de déclarer qu'il n'existait aucune recherche ni étude approfondie sur l'efficacité des masques bucaux avant le début de la pandémie. Ces études existaient belle et bien et ont toutes démontrées que le port de masques buccaux jetables en tissu et en papier (les soi-disant masques chirurgicaux) était inutile, car les trous dans le tissu du masque étaient mille fois plus grands que les molécules virales et, en outre, ne s'ajustaient pas correctement sur le visage. D'ailleurs, de nombreux chirurgiens dans le monde ont clairement fait savoir que les masques buccaux étaient inutiles. Dans un premier temps les experts de l'État l'ont également confirmé

D'ailleurs, jusqu'en décembre 2020, le site web de l'OMS contenait un avertissement indiquant qu'il était déconseillé aux personnes en bonne santé de porter des masques buccaux parce qu'ils constituent des foyers d'infection. Cette page a ensuite été supprimée.


Aujourd'hui, trois ans après les faits, le lapin sort enfin du chapeau magique. Les masques buccaux n'ont servis à rien. En d'autres termes, sans les masques buccaux, il n'y aurait pas eu plus d'infections, mais très probablement beaucoup moins. La peur de mourir qui s'est emparée des populations, combinée au fait que les masques buccaux sont des foyers d'infection, permet de conclure que l'obligation de porter un masque buccal n'a fait qu'aggraver la situation.

Une autre conclusion que l'on peut tirer aujourd'hui est que les infections de Covid n'ont pas été si graves que ça. Avec ou sans masque buccal, seul un pourcentage limité de la population de chaque pays a été infecté (du moins si l'on en croit les résultats des tests PCR, ce qui est tout aussi discutable ), la plupart d'entre eux ne présentant d'ailleurs aucun symptôme.


Tout finit par sortir. Ce n'est qu'une question de temps, mais il est pour le moins choquant d'apprendre que ce que les soi-disant " complotistes " ont prêché pendant 3 ans et pour lequel ils ont été condamnés à l'enfer, s'avère tout simplement vrai.

Ce que les gouvernements ont fait à toute leur population et à tous les professionnels de la santé dans les hôpitaux, y compris les femmes enceintes, les femmes en salle d'accouchement, les nouveau-nés, les personnes âgées, les malades .... est proprement dit criminel.




 
 
 

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