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LETTRE OUVERTE A L’ORDRE DES MEDECINS DU HAINAUT

Dr. Stéphane Résimont


Par lettre recommandée


Concerne :


Chers confrères,


Dans le cadre de la convocation que vous m’avez transmise pour être entendu ce mercredi 4 janvier 2023, le présent courrier recommandé me semble utile pour que des informations essentielles que je vous exposerai lors de notre entretien du 4 janvier soient déjà portées à votre connaissance et durablement conservées par les deux parties.


Je me permets de rappeler tout d’abord que je ne reconnais pas la légitimité de votre Commission d’Enquête à mon encontre pour quatre raisons, chacune d’entre elles étant suffisante à part entière :


1) Je ne dépends pas de l’Ordre Régional du Hainaut étant inscrit à un Ordre d’une autre province. Et je n’ai pas reçu le moindre document de la Cour de Cassation auquel vous faites référence.

2) Vous cherchez à me juger une deuxième fois pour des faits anciens pour lesquels j’ai déjà été jugés et/ou qui sont devenus prescrits.

3) Les plaintes concernent soit des faits non-établis, soit mes propres convictions scientifiques, notamment concernant l’utilité de soutenir le système immunitaire pour pouvoir mieux faire face à une infection virale. Or, l’Ordre des Médecins n’est pas qualifié pour juger de la pertinence ou non de positions scientifiques, mais uniquement de points déontologiques. Ce type de plaintes échappe donc à votre domaine de compétences et ne devrait pouvoir être jugé que par un Tribunal compétent, expertises à l’appui, si mes patients avaient souffert de dommages corporels (quod non), s’il y avait eu une faute de ma part (quod non) et s’il y avait un lien démontré entre ces dommages et cette faute (quod non).

4) Au vu de ce qui s’est passé lors de ces 3 dernières années (comme en témoignent des nombreuses sources que je vous transmettrai), je revendique le statut de lanceur d’alerte réclamant que cesse immédiatement le harcèlement contre les dizaines de médecins belges qui se sont exprimés contre la Doxa des mesures Covid, notamment – rien que du côté Francophone de notre pays et sans faire état des nombreux médecins du côté Flamand qui ont subi le même sort ) les Docteurs Pascal Sacré, Eric Beeth, Gaëtane Beeckaert, Alain Colignon, Frédéric Goaréguer, David Bouillon, Cécile Andri, Laurence Kayser, d’autres médecins et moi-même, tous persécutés par l’Ordre des Médecins et par des médecins ayant manifestement des conflits d’intérêts avec les Laboratoires pharmaceutiques, de manière directe ou par l’intermédiaire des hôpitaux dans lesquels ils travaillent et qui sont subsidiés par les Laboratoires (Cfr. premier extrait de l’Enquête d’OPEN PHARMA publiée dans le Journal Le Soir ).


Néanmoins, j’accepte de me rendre au rendez-vous que vous m’avez proposé afin de pouvoir dialoguer avec vous au sujet des points contenus dans la présente lettre recommandée, ce qui me permettra de m’assurer que ce n’est pas par manque d’informations que vous continuez d’harceler les dizaines de médecins qui ont osé tenter d’ouvrir un débat scientifique en apportant des informations contraires à la pensée unique de Sciensano, organisme enlisé dans des conflits d’intérêts touchant notamment de l’argent de Pfizer (Cfr. deuxième extrait de l’Enquête d’OPEN PHARMA publié dans Journal Le Soir).



En substance, je vous fais part de ma plus haute inquiétude concernant la crédibilité, en chute libre, de l’Ordre des Médecins, lors de ces trois dernières années, en rappelant les faits suivants qui discréditent l’Ordre, ainsi que les plaintes pour lesquelles vous entendez me juger :


1) Lorsque les autorités de santé ont prétendu, dès mars 2020, que les patients ne devaient pas se rendre chez leurs médecins et qu’il n’y avait aucun traitement, l’Ordre n’est pas intervenu le moins du monde pour défendre les médecins, la liberté de rencontrer, d’ausculter et de soigner leurs patients, ainsi que la liberté de prescrire à leurs patients les traitements qui leur semblent les plus appropriés. Quand le Docteur Colignon a demandé à l’Ordre de se prononcer sur ce droit de soigner les patients du Covid (pourtant inscrit dans le Code de Déontologie), l’Ordre a répondu qu’il n’était pas qualifié pour traiter de points scientifiques. L’Ordre ne s’estimait donc même pas compétent pour reconnaître aux médecins le droit de prescrire du zinc (un antiviral reconnu), de la vitamine D (réputé pour soutenir le système immunitaire), du Médrol (pour modérer une tempête inflammatoire créant des lésions pulmonaires), des anticoagulants (pour les patients à risque d’embolies pulmonaires) ni même des antibiotiques pour traiter les co-infections bactériennes qui sont une des complications les plus fréquentes et dangereuses des pneumopathies.


2) Retournant complètement ce positionnement d’incompétence scientifique concernant la vaccination, l’Ordre a, au contraire, estimé qu’il était parfaitement compétent pour évaluer que la vaccination massive de toute la population adulte belge, y compris des jeunes en parfaite santé qui ne craignaient rien du Covid, était non seulement nécessaire, mais indispensable, malgré que Pfizer n’a jamais même testé la diminution de la transmission du virus grâce au vaccin.

L’Ordre a estimé que ce vaccin, pourtant encore en phase expérimentale, était sûr et efficace. L’Ordre a adressé un courrier fin janvier 2021 à tous les médecins pour leur intimer l’ordre de promouvoir, sans réserve, ces injections expérimentales en les menaçant de sanctions dans le cas contraire. L’Ordre a ainsi voulu imposer de force à tous les médecins de piétiner leurs Serment d’Hippocrate (Primum non nocere), d’enfreindre le principe de précaution et l’obligation d’information complète des patients (Loi de 2002 sur la protection des patients) ainsi que la déclaration d’Helsinki interdisant les expérimentations humaines sans un consentement libre et éclairé. « En bafouant la santé et le Droit » (pour reprendre l’expression exacte du Professeur Perronne devant le Parlement), l’Ordre des Médecins s’est gravement discrédité et ses dirigeants courent d’importants risques sur le plan pénal, au fur et à mesure que les statistiques sur les effets secondaires s’accumulent.


3) L’Ordre des Médecins ne s’est pas contenté de ne prendre aucune position pour défendre le droit de soigner des médecins, pourtant garanti par le Code de Déontologie. Il ne s’est pas contenté de leur intimer l’ordre de pousser une expérimentation médicale dangereuse sans consentement éclairé. Mais l’Ordre a ensuite, entamé et poursuivi jusqu’à ce jour une véritable chasse aux sorcières, digne des pires heures de l’Inquisition, pour harceler, persécuter et condamner les médecins qui s’étaient exprimés avec d’autres opinions scientifiques que la Pensée Unique d’un Sciensano qui dépend financièrement de l’Etat et des Labos (notamment de Pfizer : Cfr annexes).

L’Ordre pense-t-il pouvoir anéantir tout débat scientifique ? Comment l’Ordre peut-il, en même temps, se prétendre incompétent d’un point de vue scientifique pour des traitements précoces connus de longue date et, en même temps, imposer aux médecins de promouvoir sans réserve un vaccin expérimental à toute la population et ensuite persécuter tous les médecins qui osent exprimer un avis contraire ?


4) Le vice-Président de l’Ordre National des Médecins de Belgique, Monsieur …, s’était confié au Journal Le Soir (Cfr annexe) en disant « Ce plan de vaccination pue le totalitarisme ! », avant de démissionner quelques mois plus tard…


5) Le nouveau vice-Président de l’Ordre National des Médecins, le Docteur …, déclare sur le site officiel concernant les conflits d’intérêts des médecins que son domaine d’expertise est la Vaccinologie et la Vaccination. Cfr. annexe. Sa société médicale a triplé son chiffre d’affaires au moment du Covid (sans doute grâce à l’argent d’un laboratoire). Cfr. annexes.

Et, faisant fi de ses conflits d’intérêts, ce même Docteur … , à peine arrivé à la fonction de vice-Président de l’Ordre National des Médecins se vante de la persécution en cours de quelques 40 médecins qu’il qualifie « d’anti-vax » (raccourci abjecte) et qu’il entend bien poursuivre ce mouvement de grand nettoyage… Cfr annexe.

Il ne s’agit pourtant pas de médecins globalement opposés à tous vaccins. Au contraire, la plupart de ces médecins a précisé avoir toujours été favorable aux vaccins éprouvés, efficaces et nécessaires comme les vaccins traditionnels, mais qu’ils se permettent juste d’attirer l’attention sur les risques d’une vaccination expérimentale de toute la population (y compris des jeunes) avec un produit qui n’a démontré ni son innocuité, ni son efficacité contre la transmission du virus (Pfizer a admis devant le Parlement Européen que les effets sur la transmission n’avaient pas été étudiés) et contre une maladie dont l’âge moyen de décès est de 83 ans et dont la plupart des décès auraient pu être évités si les autorités ne s’étaient pas opposées aux traitements précoces.

Par ailleurs, ces médecins rappellent qu’il est connu depuis plusieurs décennies que les virus à ARN mutent trop pour espérer qu’un vaccin puisse être immunisant, les vaccins contre les virus à ARN (comme les Coronavirus) ont toujours une longueur de retard, comme c’est le cas pour les vaccins grippe également qui nous immunisent contre la souche de l’année précédente, rendant indéfendable une vaccination de masse en vue d’une utopique immunité collective.

Ces médecins, qualifiés grossièrement d’anti-vax par le nouveau vice-Président de l’Ordre des Médecins, précisent également que ces vaccins-ci sont beaucoup moins anodins que les vaccins traditionnels et qu’il convient d’être d’autant plus vigilants que les effets secondaires à court terme sont plus graves et 30 fois plus nombreux qu’avec des vaccins traditionnels. Nous, les médecins lanceurs d’alertes, nous précisons également que ces nouveaux vaccins expérimentaux sont basés sur une protéine SPIKE qui est pro-inflammatoire et thrombogène provoquant de nombreux dégâts aux organes gynécologiques et au muscle cardiaque (fréquentes myocardites y compris chez les jeunes, AVC, infarctus provoquant des morts subites de l’adulte en très forte augmentation). Et que les dégâts de long terme causés par ce vaccin risquent d’être d’autant plus nombreux qu’ils sont basés sur une nouvelle technologie à ARN messager susceptible de provoquer d’importants désordres immunitaires (puisque l’ARN donne l’ordre à nos propres cellules de produire une protéine toxique) pouvant mener à une forte augmentation des maladies auto-immunes et des cancers dans les 5 à 10 années à venir.


6) L’Ordre du Hainaut avait condamné le Docteur Alain Colignon, un chirurgien cardio-vasculaire de 67 ans, à deux ans (!) de suspension pour avoir communiqué sur les traitements précoces et les dangers de ces nouveaux vaccins expérimentaux, propageant, selon l’Ordre, des informations contraires aux connaissances scientifiques actuelles. On note la contradiction et l’abus de pouvoir de l’Ordre, puisque l’Ordre, de ses propres dires, n’est pas sensé pouvoir juger de l’état des connaissances scientifiques, mais uniquement de points de déontologie. On constate également que ce jugement a été purement et simplement annulé par l’Ordre National qui a lui-même fait remarquer que l’Ordre des Médecins du Hainaut avait triché, puisqu’ils avaient remplacé un des médecins ayant participé aux audiences du Docteur Colignon, par un autre médecin pour prononcer la condamnation à deux ans de suspension. Cette tricherie de l’Ordre du Hainaut ne fait que discréditer encore plus l’institution que vous représentez.


7) Enfin, dans la droite ligne du conflit d’intérêt qu’il publie, le vice-Président de l’Ordre National des médecins, le Docteur …, poursuit sa croisade CONTRE les médecins « anti-vax » et POUR la masse vaccination en organisant prochainement un Symposium, ce 4 février 2023, en vue d’expliquer pourquoi la vaccination OBLIGATOIRE des médecins seraient de nature déontologique ! Il fait fi de ses conflits d’intérêts, se ridiculise et discrédite encore plus gravement l’Ordre des Médecins en oubliant de tenir compte des faits suivants :


- Omicron est devenu 40 fois plus bénin que la grippe, rendant tout plan de vaccination sans objet.

- Les effets secondaires de cette nouvelle thérapie génique se sont avérés désastreux.

- De nombreuses alternatives de traitements se sont montrées plus efficaces et beaucoup moins nocives que le vaccin.

- Les dirigeants de Pfizer ont admis devant le Parlement Européen que la diminution de la transmission du virus chez les vaccinés n’avait même pas été étudiée.

- Les patients admis à l’hôpital pour Covid sont de 80 à 90% des vaccinés, montrant que le vaccin n’empêche pas la contamination.


Au regard de tous ces éléments et des sources annexées à cette lettre recommandée, il semble de plus en plus manifeste que ce ne sont pas les médecins lanceurs d’alerte qui devraient être jugés, mais l’Ordre et ses dirigeants qui devront être jugés pour répondre de tous ces méfaits et répondre de leur contribution aux milliers de morts dont ils risquent d’être jugés co-responsables, tant concernant l’absence de soins du Covid que pour l’expérience médicale non librement consentie, suite au comportement indéfendable des dirigeants de l’Ordre.


A titre d’exemple, le Professeur Castronovo, Membre de l’Académie Belge de Médecine précise dans le Grand Débat organisé sur le média libre Kairos, qu’aux Etats-Unis ce nombre de morts évitables a déjà été chiffré à plus de 300.000 personnes. On peut supposer que ce type d’évaluation sera réalisée prochainement en Belgique également pour évaluer les responsabilités des autorités de santé et notamment les responsabilités pénales des dirigeants de l’Ordre des Médecins.

En Belgique, les statistiques s’accumulent tant en ce qui concerne les morts évitables s’ils avaient été soignés, qu’en ce qui concerne les morts et les dégâts graves provoqués par l’expérimentation médicale de ces vaccins expérimentaux que les médecins belges ont été contraints et forcés de promouvoir sans réserve, suite aux injonctions de l’Ordre des Médecins.


Par ailleurs :

* L'OMS a toujours insisté sur le fait de ne jamais procéder à des campagnes de vaccination durant une épidémie

* L'OMS a modifié (ou plutôt inventé) la notion 'd'immunité collective' sur base de la vaccination en décembre 2020 et glissé l’immunité naturelle sous le tapis.


Impatient de tenter de faire avancer le dialogue, le débat scientifique et la prise de conscience chez les dirigeants de l’Ordre au sujet des graves risques qu’ils courent à titre pénal, je vous confirme ma présence à la réunion de ce 4 janvier 2023 .


N.B : Je pense qu’il est essentiel de rappeler à la population et aux autorités que la balance bénéfices / risques doit être estimée de manière individuelle ou, au moins par catégories de personnes (plus de 80 ans ou personnes souffrant de diabète, immunodéprimées...).

Si l’étude de Pfizer avait été menée sur des jeunes de 20 à 30 ans, ils auraient constaté qu’il n’y a, pour eux, aucun bénéfices pour compenser les myocardites, les AVC, les paralysies de Bell, les Guillain Barré et les dégâts gynécologiques. Les pousser dans le dos à se faire vacciner pour continuer à avoir une vie sociale a été criminel.


Par ailleurs, les bénéfices doivent être décrits sur la durée. Si le vaccin crée une immunité plus faible pendant les 15 jours suivant la vaccination, puis une protection relative pendant 3 mois, puis une baisse de l’immunité dans les mois et années qui suivent... c’est bien sûr une escroquerie de l’esprit de ne mesurer son efficacité qu’après exactement 3 mois et de propager des conclusions sur cette observation extrêmement partielle (et partiale) de la réalité. Une telle escroquerie permettrait également de conclure que les bonbons sont excellents pour la concentration et la vitalité en mesurant qu’après 5 minutes les gens sont bien boostés. Il ne faut surtout pas constater qu’après une heure ils sont down (hypoglycémie réactionnelle), ni constater les dégâts sur le long terme (diabète, cancers, arthrose...). Ces observations « juste au bon moment dans le temps » biaisent totalement la réalité et constituent une pure escroquerie intellectuelle.





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