Bien que 200 millions de volailles destinées à la consommation humaine aient été abattues dans le monde au cours de l'année écoulée en raison de la grippe aviaire, la maladie semble continuer à apparaître. Les agriculteurs français sont désespérés. Ils n'ont aucune idée de ce à quoi ressemblera leur avenir.
Bien que le ministre français de l'agriculture soit conscient que la vaccination avec les vaccins conventionnels est inefficace en raison de l'obsolescence systématique, il souhaite néanmoins que toutes les volailles soient vaccinées avec un vaccin d'une nouvelle génération, soit un ARNm actuellement en cours de développement, afin d'arrêter la mortalité ( forcée ).
Si cela se produit, chaque œuf et poulet, oie ou canard que les citoyens français consommeront (et peut-être vous aussi si les volailles ou leurs œufs sont importés) sera contaminé par un ARNm dont les effets sur le corps humain sont inconnus.
On parle depuis plus longtemps qu'aujourd'hui de ne plus faire des vaccinations par inoculation à l'avenir mais par inhalation ou par voie alimentaire. Si les aliments de base contiennent de l'ARNm, il est plus probable qu'ils soient ingérés par l'ensemble de la population que par le biais d'un appel à la vaccination.
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