Entre mai 2020 et aujourd'hui, des milliards de tests PCR ont été infligés au monde entier dans le cadre de la crise Covid19. Avant mai 2020, il n'y en avait pas, mais soudainement, chaque pays en avait des millions en stock. Qui a fabriqué cette quantité gigantesque de tests PCR, où et quand ils ont été commandés par et livrés à chaque pays, combien ils ont coûté à l'achat et comment la distribution et la diffusion se faisait, reste un mystère. Il n'y a pas la moindre transparence. Tous les gouvernements gardent leurs lèvres bien scellées. Aucune information n'est diffusée.
On sait très peu de choses sur les laboratoires qui traitent les tests PCR. Qui a nommé les laboratoires ? Sur base de quels critères ? Les laboratoires ont-ils fait l'objet d'une enquête préalable pour vérifier s'ils agissent selon les règles de la science et disposent de tous les instruments nécessaires pour traiter les tests PCR selon les normes scientifiques ? Comment étaient et sont traités les tests PCR ? Les laboratoires et les résultats qu'ils présentent sont-ils contrôlés par un organisme de contrôle externe ? Aucune information n'a été communiquée à ce sujet non plus. Arrêtez votre cirque, faites-le.
Tous les pays ont élaboré des Lois avec des règles et des critères sur le test PCR obligatoire pour tous ceux qui ont été en contact avec une personne " infectée ". Cependant, très curieusement, aucun pays n'a mis par écrit de règles sur ce qu'il convient de faire avec les tests PCR traités. Plus curieux encore est le fait de constater qu'aucune information ne peut être trouvée sur un site gouvernemental concernant le sort des tests PCR après qu'ils ont été examinés par un laboratoire ou un hôpital. Une équipe de chercheurs a passé des jours à fouiner sur internet pour trouver quelconque information sur le sujet. Ils n'ont rien trouvé, à l'exception d'un article du journal USA TODAY de septembre 2020 qui indique que les tests PCR sont détruits dans les 4 semaines. Cependant, aucune confirmation de cette destruction n'a été trouvée. Pas de base de données, même pas une simple notification.
Un test PCR contient l'ADN de la personne qui a subi le test.
D'un point de vue strictement légal, chaque patient doit donner son autorisation écrite pour le prélèvement d'un échantillon de son ADN et de son ARN dans le seul but de tester la présence éventuelle de molécules virales (après amplification). Cette admission à des fins limitées doit également indiquer clairement ce qui sera fait de l'échantillon après l'examen. S'il est détruit, il doit indiquer qui, quand et comment l'échantillon est détruit. Si l'échantillon est conservé après traitement, des informations claires doivent également être fournies à ce sujet et les patients doivent également donner une autorisation formelle d’utiliser leur ADN à des fins scientifiques. Tout cela n’ jamais été fait. Pourquoi pas ?
Qu'advient-il des tests PCR traités ? Que font-ils avec ? Sont-ils détruits ? Ou gardé pour des recherches ultérieures ? Si oui, où et avec quelle autorisation sous-jacente ? Pourquoi cette information importante n'est-elle pas divulguée ?
Ne trouvant aucune réponse à toutes ces questions, l'un des chercheurs a, sur un coup de tête, posé la question au chatbot IA CHATGPT, qui, selon les médias, fournirait des réponses véridiques aux questions basées sur les milliards de données que les scientifiques ont alimentées dans le chatbot.
La réponse de CHATGPT est comme suit : " Les tests PCR ne sont généralement pas détruits. Les résultats positifs et négatifs d'un test sont habituellement enregistrés et utilisés à des fins médicales, épidémiologiques ou de recherche. Les échantillons physiques tels que les écouvillons nasaux et de gorge peuvent également être conservés pendant un certain temps au cas où ils seraient nécessaires pour des recherches ultérieures. La manipulation spécifique et le stockage des tests PCR traités dépend des lois et réglementations locales de chaque pays ainsi que des politiques des laboratoires ou des institutions de santé qui ont traité le test PCR. "
Si les informations fournies par CHATGPT sont correctes (et nous supposons qu'elles le sont), les gouvernements de tous les pays possèdent l'ADN d'environ 6 milliards de terriens. Pourquoi ? Certainement pas pour cartographier le génome humain, car c'est un fait établi depuis longtemps. Entre 1990 et 2003, une équipe internationale de scientifiques a dressé une carte complète du génome humain, à partir de millions d'échantillons d'ADN. Ce projet est connu sous le nom de " Human Genome Project "
Alors pourquoi ? Quel est l'objectif de la collecte de l'ADN de l'ensemble de la population mondiale ?Cette question prend des proportions très pertinentes quand on sait que le 10.09.2020, le Royaume-Uni a adopté une loi (Act 2020/973) qui autorise tous les gouvernements - à des fins de lutte contre le terrorisme et de sécurité nationale - à collecter l'ADN de tous les Britanniques présents au Royaume-Uni et dans le Commonwealth entre le 01.10.2020 et le 24.03.2021, prolongeable une fois pendant 6 mois
Le Royaume-Uni, à lui seul, abrite 60 millions de personnes. Comment peut-on recueillir, en moins d’un an, l'ADN de 60 millions de personnes ? Simple. Par le biais de tests PCR rendus obligatoires sous prétexte d'un virus mortel qui s'avère finalement ne pas avoir été si mortel.
Collecter l'ADN de l'ensemble de la population n'a évidemment pas été une décision du moment. Il a été planifié longtemps à l'avance et préparé avec soin.
Le géant néerlandais NV QIAGEN ( ° 1984 ), spécialisé, notamment, dans le développement et la vente de tests PCR et disposant de succursales dans 25 pays, a annoncé le 08.01.2019 l'acquisition de la société américaine Formulatrix (°2002) avec la mention qu'ils investiraient, à force unie, dans le développement d'une plateforme PCR numérique. À l'époque, il n'y avait pas du tout de crise mondiale virale. Le 03.03.2020, QIAGEN a été vendu pour le prix faramineux de 10,4 milliards d'euros à l'entreprise américaine Thermo Fisher Scientific, qui a approvisionné le monde en kits de tests PCR pendant la crise. En effet, les millions de kits de tests PCR échangés entre une multitude de pays par le biais de WITS en 2017, 2018 et 2019 n'ont pas permis de répondre à la demande.
Le gouvernement fédéral belge a nié avec véhémence l'achat-vente de quantités massives de tests PCR plus de 3 ans avant la crise et l'a rejeté comme du complotisme. La mention Polymere Chaine Reaction Testkit a immédiatement été modifié sur WITS en " kits de tests médicaux " mais ils n'ont pas fait leurs travail comme il faut. Il reste toujours des traces de transactions auprès d’autres organismes, notamment le site web de FIT ( Flanders Investment and Trade ) qui présentait les mêmes grandes quantités de transactions internationaux de kits de test PCR, soigneusement répertoriés par date. Pourquoi ont-ils menti à ce sujet ?
Les droits des patients sont systématiquement gravement violés. Les gouvernements font table rase de toutes les lois qui protègent les citoyens et leurs droits. Le fait que tous les citoyens ont été soumis à des mesures absurdes de restriction de la liberté qui ont gravement porté atteinte au monde et à l'économie est en soi déjà inexcusable. Cependant, le fait que des gouvernements aient, en secret, collecté l'ADN de tous les citoyens et l'aient conservé, enregistré, stocké et/ou continué à l'utiliser à des fins de recherche, sans le consentement formel de ces citoyens est totalement inacceptable.
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