Opinion - Carine Knapen
Une étude intitulée "Sceptical views in the corona debate, Lessons from a mixed methods study of corona scepticism in the Netherlands" a été publiée en juin 2022 aux Pays-Bas.
Vous trouverez l'étude dans le lien suivant.
https://pnws.be/.../HoofdrapportSceptischevisiesinhetcoro...
Dans ce lien, vous trouverez également l'article d'aujourd'hui dans PNWS avec l'interprétation de M. Michael Verstraeten :
Je ne m'étendrai pas sur le contenu de cette étude et me limiterai à faire référence à l'opinion de Michael Verstraeten, à laquelle je souscris.
Le fait que le gouvernement ait au cours de la crise de Corona opté pour un récit qu'il a proclamé comme étant la vérité absolue et que les médias aient délibérément exclu toute opinion dissidente ou, pire, l'aient condamnée, écrasée et écartelée, n'est pas nouveau. Nous le savons depuis longtemps. Que le gouvernement, les experts de l'État et les médias aient délibérément poussé la population dans une psychose de peur et monté les populations les unes contre les autres, idem.
Je vais un peu parler de la vérité à l'encontre du mensonge ou de ce que le rapport de recherche appelle le " corona scepticisme ". Je vais le faire à partir de " moi ", de la façon dont cela s'est passé pour moi et de l'origine de mon scepticisme.
Revenons un instant en arrière.
Pendant les premières semaines, j'étais moi-même totalement embarquée dans le récit. J'ai vu des images terribles en provenance de la Chine, puis de Lombardie. J'en ai eu la gorge serrée. Je ne pouvais plus fonctionner normalement et ne faisais que zapper tout au long de la journée d'une chaîne d'information à l'autre, en Belgique comme à l'étranger, . En néerlandais, en français, en anglais, allemand, espagnol, bref, toutes les chaînes possibles. Les premières semaines, je n'ai pas mis le nez dehors, même pas pour faire des courses. Juste pour dire...
Cette peur paralysante a duré jusqu'au 19 avril 2020, date à laquelle j'ai appelé mon médecin généraliste - suite à un appel de mon aide ménagère me disant qu'elle avait corona - pour qu'il me fasse passer un test. Aucune consultation physique n'était autorisée pendant le premier confinement, tout se faisait par téléphone. Il a interrompu ma crécelle de panique et m'a dit : "Carine, ne vous laissez pas monter la tête, vous ne serez pas infectée si vous avez du contact avec une personne malade pendant plus de 15 minutes à une distance de moins de 1,5 m ". Je n'oublierai jamais ses paroles. D'une certaine manière, ils m'ont sauvé la vie.
Son réveil a secoué mon esprit académique avec en arrière pensée les paroles de Henri Poincaré. La pensée ne peut jamais se soumettre. J'ai commencé à lire et examiner toute pièce, à analyser les chiffres de la base de données de Sciensano pour vérifier si tout ce qu'on nous présentait était vrai.
J'ai immédiatement trébuchée sur ces chiffres qui montraient quelque chose de complètement différent de ce qu'on nous disait. Cela ne collait pas.
Intriguée, j'ai investi tout mon temps libre dans la lecture et la recherche. Plus je creusais, plus je trouvais d'anomalies. Même l'OMS a été contrôlée. Il n'y avait pas de pandémie. Les conditions d'usage d'une pandémie n'étaient pas réunies. C'était un mensonge. Au 26.04.2020, à peine 1,5 % de tous les tests étaient positifs et positif ne signifiait nullement infecté. J'ai correspondu par courrier électronique avec l'experte Erika Vlieghe. Elle a admis qu'il n'y avait pas d'épidémie en Belgique, mais seulement des foyers très localisés par ci et par là qui étaient parfaitement gérables sans paralyser complètement le pays (comme cela a d'ailleurs été clairement exposé dans le Confinement Renversé de Sam Brokken et par la suite dans la Grand Barrington Declaration ).
J'ai effectué un audit des chiffres des hôpitaux que j'ai transmis au ministre Frank Vandenbroucke et le commissaire corona Pedro Facon. Les admissions à l'hôpital étaient truquées, les sorties quotidiennes de l'hôpital n'étaient pas déduites. Il y avait des centaines de patients fantômes.
Le gouvernement a ordonné une enquête qui, bien des mois plus tard, a révélé que les hôpitaux avaient effectivement triché, et pas un petit peu, mais Frank a écarté ce fait en le qualifiant d'optimisation financière".
J'ai également examiné en détail la législation des ministres Maggie De Block et De Crem et, là aussi, j'ai découvert un certain nombre de choses qui ne collaient pas et qui indiquaient clairement que le débâcle avait été organisée à l'avance et par ailleurs identique dans tous les pays (ce qui était matériellement impossible). C'était d'une ampleur que nous ne pouvons pas comprendre. J'ai continué à creuser. J'ai grimpé de plus en plus haut sur l'échelle pour découvrir ce qui se passait au juste et qui était à l'origine de tout cela.
Je ne supporte pas les mensonges. Je ne pouvais pas rester là comme une poire sans rien faire. Je n'aurais jamais pu me pardonner de savoir et de laisser faire.
Je suis rentrée dans l'arène publique et ai commencé à informer activement le public sur les médias sociaux de tout ce qui était déformé, amplifié et/ou placé dans un faux contexte ou complètement hors de sa perspective et souvent même des mensonges d'acier. Parce que je pensais et pense que les gens ont droit à des informations exactes et complètes. Pas des bribes qui donnent une image déformée, mais l'image complète. J'ai continué à le faire quotidiennement pendant un an et demi, jusqu'à l'épuisement total.
Est-ce que cela fait de moi une " corona sceptique ", une incrédule, païen ou encore une réticente ? Non, je suis sûr de ce que j'ai dit et appuyé sur une multitude de sources et de preuves. De plus, le temps a prouvé sans l'ombre d'un doute que tout ce que j'ai dit et écrit était juste. Tout s'est avéré vrai. Je ne suis pas une sceptique, mais quelqu'un qui - comme tous ceux qui m'ont rejoint sur les barricades pour dénoncer les mensonges d'une voix forte - a donné la priorité à la vérité, s'est jeté corps et âme dans la mêlée et a lutté contre les nombreux mensonges de la presse, du gouvernement et des soi-disant experts. Et ce n'est pas fini. Le mensonge et la tricherie ont un prix. La justice me tient également à cœur. Ce qui a été fait à nos petits vieux et à nos enfants ainsi qu'à toute la population et à notre économie est terrible. Je ne l'oublierai jamais.

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