Dans les années 1970, les climatologues ont averti le monde que nous nous dirigions tout droit vers une nouvelle ère glaciaire, que l'hémisphère nord de la Terre allait se refroidir très fortement et faire des millions de victimes. Cette prédiction a même fait la couverture de Time Magazine.
Cette prédiction ne s'est pas réalisée. Les mêmes scientifiques ont ensuite commencé à crier tout haut que la pollution CO2 allait provoquer le réchauffement de la Terre, la fonte des calottes glaciaires et la montée du niveau des océans de plusieurs mètres , inondant ainsi de nombreuses terres. Selon des prédictions de clairvoyants, cette grande catastrophe se produirait en l'an 2000. Des cartographies ont été dressées indiquant les endroits du monde qui seraient encore habitables après le grand déluge. L'un de ces endroits était, paraît-il, le Tafelenberg en Afrique du Sud, où des promoteurs immobiliers ont immédiatement commencé à construire des bunkers de survie qui ont été vendus comme des petits pains aux riches de la terre.
Le déluge prédit n'a pas eu lieu non plus. Cependant, le culte du réchauffement climatique, avec l'ONU et son groupe d'experts du GIEC dans son sillage, est devenu ces dernières années de plus en plus persistant dans ses affirmations sur les prétendus effets du réchauffement climatique prétendument causé par la pollution au CO2. C'est le énième mensonge.
La NOAA américaine (National Oceanographic and Atmospheric Administration) collecte des données sur le niveau de la mer depuis le 19e siècle.
Elle dispose de plus de 200 stations de surveillance le long des côtes américaines ainsi que dans le golfe du Mexique, dans sept groupes d'îles du Pacifique et dans six groupes d'îles de l'Atlantique.
Toutes les données recueillies par la NOAA montrent que le niveau des océans est généralement resté le même depuis des siècles, indépendamment des niveaux de CO2 dans l'atmosphère.
Si une minuscule augmentation du niveau des océans est observée, c'est sur un siècle entier, ou sur une période de 100 ans, et cette augmentation n'est même pas corrélée avec le niveau de CO2 dans l'atmosphère.
L'activité tectonique, les dégâts causés par les ouragans, l'effet El Nino et les changements dans les courants océaniques sont des variables incontrôlables qui affectent les mesures du niveau de la mer mais n'ont aucun impact sur les résultats si on les considère sur le long terme.
Le marégraphe de la NOAA à Battery, New York, existe depuis 160 ans. Une augmentation lente et régulière du niveau de la mer y a été observée, mais elle est minuscule : 33 cm par siècle. Dans les villes côtières californiennes de San Diego, Los Angeles, La Jolla et San Francisco, la hausse moyenne du niveau de la mer est d'environ quatre à neuf centimètres par siècle, mais cette hausse minuscule n'a rien à voir avec les niveaux de CO2 dans l'atmosphère.
Cette élévation minuscule ne peut être liée à l'augmentation des niveaux de CO2, car elle s'est produite à la fois à des époques non industrielles et à des époques industrielles plus tardives, caractérisées par de fortes émissions de CO2.
La première hausse mesurée remonte à 1855, soit bien avant la révolution industrielle et l'existence des centrales électriques au charbon, des voitures, des camions diesel, des jets privés, etc.....
De plus, l'élévation du niveau de l'eau a également eu lieu à l'encontre de la forte hausse de la température ou du refroidissement.
Il n'existe aucune preuve d'une élévation de 3,3 mètres du niveau de la mer, comme l'a prédit l'ancien scientifique de la NASA James Hansen, mais qui est contredite par toute une série d'autres scientifiques à qui on ne donne aucune tribune.
L'une des tendances les plus intéressantes du niveau de la mer au cours du siècle dernier est celle de Sitka, en Alaska. Le niveau de la mer y a baissé régulièrement, et non augmenté, au cours des dernières décennies. Si la tendance se poursuit, le niveau de la mer diminuera d'environ 30 cm au cours des 100 prochaines années. Ce qui est amusant dans toute cette histoire, c'est que les activistes climatiques prétendent que Sitka, qui se trouve à 100 miles de Glacier Bay, sera le premier endroit où la "montée massive du niveau de la mer" sera visible, alors que c'est exactement le contraire qui se produit.
La seule menace réelle à laquelle les gens devront s'adapter, selon la NOAA, est celle des ouragans le long des côtes densément peuplées. Les villes côtières n'ont pas à s'inquiéter de la fonte des glaciers et de la montée des marées pendant des dizaines de milliers d'années, mais elles sont confrontées à la menace naturelle des ouragans et des tsunamis.
Toujours selon la NOAA, les villes construites sur des volcans actifs constituent peut-être la menace la plus pertinente en raison de l'activité tectonique naturelle.
La NOAA ne se prononce pas sur la manière dont les tsunamis, les éruptions volcaniques et les tremblements de terre peuvent se produire.
Le canular du CO2 prend des proportions absurdes quand on sait que qu'il est connu depuis belle lurette que les océans absorbent 10 à 20 milliards de tonnes de CO2 par an et assainissent l'air.
Même le Forum Economique Mondial en a fait un rapport promotionnel le 01 octobre 2020, rapportant en gras que les océans absorbent 25% des émissions totales de CO2 et que, selon de nouveaux chiffres, cela pourrait être bien plus.
Si l'on ajoute à cela les arbres qui transforment le CO2 en oxygène ( ce qui fait du CO2 une substance nécessaire à l'homme car sans ou trop peu de CO2 pas d'oxygène), il est clair pour tous que la crise climatique n'est pas ce que l'on prétend.
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